Echafaudage vertical en materiel à couronnes multidirectionnelles pour travaux tous corps d'état
Les échafaudages sont connus des Grecs sous le nom d'ikrion, généralement au pluriel : on le retrouve dans les ouvrages de Théophraste, qui recommande le figuier pour les échafaudages, comme pour tout support vertical au Livre 5 de son ouvrage Histoire des Plantes.
Les romains désignaient par machinae scansoriae les échafaudages. Ils furent appelés « chafauds » (du latin « catafalcum ») ou « échafauds », terme de sinistre mémoire, « échafaud» désignant aussi l'estrade où étaient placées la potence ou la guillotine dans les exécutions capitales.
L'usage du terme échafaudage s'est généralisé xixe siècle à cause de l'association pernicieuse que faisait naître le mot échafaud dans les esprits ou pour oublier le désagréable souvenir des échafauds révolutionnaires.
Le terme « échafaud » est toujours usité au Québec. Échafaud désignait alors « une espèce de plancher qu'on fait pour s'élever à la hauteur des endroits où l'on a à travailler ».
L'échafaud le plus ordinaire était celui qui est fait avec des boulins scellés dans les murs et écoperches debout, liés ensemble avec des cordages, sur lesquels on pose des planches.
source : Wikipédia