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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 13:34

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Restauration des vitraux de Lusson et Le Févre - 1873 - PARIS

Commencement des travaux en Juin 07


1ére étape : la dépose de la façade Ouest
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Personnes pour la dépose délicate : Eric, François et Stéphane - Il leurs a fallu 7 jours à 3 pour déposer les vitraux de la façade Ouest










2ème étape : restauration en atelier

Après avoir lavé les panneaux soigneusements, on les déssertis (démonte)
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Manu dessertit le panneau, il enlève les vieux plombs qui ne sont pas gardés. Il est important de replasser les pièces dans le même ordre.

Les pièces manquantes sont refaites
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Oculus tombé en 2000, en cours de restauration


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Une fois les panneaux dessertis, les pièces neuves peintes et cuites faites, les pièces cassées collées, les panneaux peuvent être remis en plomb.
 L'atelier :
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Eric, Stephane, Flore, Clara, Manu, François et Antoine

 
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GRILLES DE VENTILLATION

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DETAILS

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Pose des vitraux des baies Ouest
avec Stéphane, Thomas, Eric et François
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serrurerie : Philippe Bournigal

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 Restauration Sud finit en atelier , en Octobre
Pose en Novembre et Decembre 07










Façade Est et rosace

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Surface totale des vitraux pour les façades Ouest - Sud - Est est de 217 m²

Plomb utilisé de 7 de Stillemans
Verre antique de Saint Just
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 13:47
 29-08-07-PLOMODIERNE.JPG AVANT
IMG_0001-copie-3.JPG APRES
VITRAIL DE JEAN-PIERRE LE BIHAN 1965


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  AVANT                                                                             APRES

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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 13:20
IMG_0001-copie-2.JPGVandalisme 07



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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 11:49
f3.JPG   F8.JPG

baie 3                                     baie 8

Baie 3, montage borne et filets, réseau grisaillé, vitrail de Nicolas 1887- 1898;

Baie 8, Ange Gardien accompagnement de losanges aux armes de Bretagne et de France ; 1887 -1898 , JL NICOLAS

avant restauration

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 restauré
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 11:07
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FENETRE 11                            FENETRE 13                          FENETRE 15

Vitraux de Florence de 1900

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IMG_0010.JPG déssertissage et nettoyage des rives
















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22 janvier 2008 2 22 /01 /janvier /2008 15:41
Baie 4 - Vitrail de DESJARDIN - Angers 1926 - 

IMG_0006.JPG avant IMG_0007.JPG pendant
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après




Le verrier DesJardins     Angers, Architecte, acheta en 1925 la fabrique de vitraux de
Georges Merklen. L'affaire, alors prospère, déclina rapidement pour mauvaise gestion. Les succursales   de Paris, (ex- Haussaire),           Reims et New York ferment. Entreprise en liquidation en 1933 et reprise par Bordereau en 1934.

1920, Vannes, 56, Cathédrale, 1 baie figurative"14-18" Virolle, dessinateur, offert par les U.S.A. pour accueil.

1923, Carhaix-Plouguer, 29, église Saint-Pierre, FIG,baie 0, le pain et le vin, baie, sainte Thérése, Vierge et Enfant-Jésus, baie 6, vitrail à la mémoire du comte et de la comtesse de Saisy, baie 5, saint Pierre et saint Paul( intéressant pour leur composition hors du commun), Baie 8, saint Eloi ( hors de l’ordinaire), baie 10, en souvenir de l’incendie avec la scéne du saint-Sacrement que l’on sauve des flammes avec le pompier à genoux.

1926, Langolen, 29, église saint-Gunthierm, FIG, 4 baies, nef, peinture assez naîve baie 2, ITROUN MARIA AR PORZOU P. E. baie 20, AN AOTROU CHRIST ROUE AR BED, sur fond IHS et hermines, porte globe terrestre à trois éléments. BAIE 22, SANTEZ ANNA AR PALUD, baie 24, SANT COLEN. KENTA.PATRON. ZR. BAREZ

1926/1927, Rochefort-en-Terre, église, baie 0, la sainte Famille, Joseph est à une extrèmitè, la Vierge de l’autre, il est possible qu’un autel central a été enlevé. A la mémoire du commandant de Boisseguin, mort pour la France en 1916. Baie 2, Notre-Dame de Lourdes, la qualité picturale ou décorative des chênes relève le sujet. 1927.

1927, Vannes, 56, cathédrale, transept bras nord, FIG, 1 baie, Jeanne d'Arc, transept bras sud, communion

1927; Clohars Fouesnant, 29, église Saint-Hilaire, FIG, baie 3, Noli me tangere"

1928, Gourin, 56, chapelle Saint-Hervé, restauration.

1929, Guehenno, 56, église, baie 1, saint Jean-Baptiste et saint Pierre, à la mémoire de Walter Emilie mes père et mère, Theodora Williams, baie 2, saint Michel et sainte Thérèse, en mémoire de Walter William et Arthur mes frères, miss Théodora Williams, baie 3, Sacré-Cœur de Jésus, sur fond de GR, don des paroissiens, baie 4, la Vierge Marie, avec accompagnement de GR, don du recteur et des paroissiens, baie 5, la Samaritaine, baie 6, saint Augustin et sainte Monique,  baie 7, la sainte Famille, baie 8, sainte Anne et Nicolazic.

1929, Scaër, 29, église Sainte-Candide, 2 petites fenêtres. En baie 5, sainte Anne, don de madame Louers en souvenir de sa fille Jeanne, et baie 6, saint Joseph.

1927 et 1930, Locminé, 56, Kermaria, grande chapelle et chapelle de la Sainte-Famille, grisaille,<<très réussi et d'un bel effet >> commentaire de l'époque.

1931, Chambretaud, 85, église

1933, Quimper, 29, séminaire, 12 baies avec saints bretons et noms en latin


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11 janvier 2008 5 11 /01 /janvier /2008 10:44

 

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CHAPELLE SAINT-HERVE

GOURIN

 

 

 

Baie 0 et 2, début XVIe, remis en plomb en 1928. Restauration en 2007 par l’atelier Le Bihan Vitraux de Quimper + verrière de doublage thermoformée et feuilletée d’Hervé Debitus de Tours.

 

 

 

Baie 0 – Verrière de la Passsion, de Saint Hervé et de Saint Eloi – vers 1510-1520

 

Baies à 3 lancettes trilobées de 3 panneaux et réseau de 5 soufflets.

H. 3,25 m² - L. 1,88 m

 

 


 

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Lancette A, présentation de Saint Hervé dans une niche de coquillage d’un  rouge foncé et dais à décors gothiques  de trois étages avec  4 pinacles à plan carré terminés par un fleuron entourant un pinacle central plus lourd avec un fleuron épanoui, gables triangulaires aux deux étages. Le tout sur un fond rouge. Ce dais repose sur deux colonnes  reposant  sur un socle au deux cartouches rectangulaires avec textes gothiques non compréhensibles (pièces de 1928). Ce dais se retrouve avec le même carton en C. La niche est fermé à l’arrière par un rideau rouge prenant une forme concave. Saint Hervé est debout,  les pieds nus sur un sol terreux. Il tient  de la main droite, en laisse, ici avec une cordelette, un loup assis sur le train arrière et qui lève son museau vers le saint. Il porte une robe  de couleur violet, aux manches larges et serrée à la ceinture par une cordelette ; Ce vêtement s’arrête au-dessus des chevilles. Enfoncé jusqu'aux sourcils, un chapeau à très larges bords d’un bleu  roi laisse tomber un voile de la même couleur qui coure de l’épaule gauche à l’épaule droite. Sa main droite s’appuie sur un frêle bâton et égraine les grains d’un chapelet. Son visage, de trois quart, a des yeux mi-clos sous de lourdes paupières, le nez est droit et fin, une barbe courte entoure le visage .



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Lancette B, la Crucifixion. Le dais est moins important, cela pour permettre au Christ et à la croix de se dresser. Son fronton semi-circulaire à deux culs de lampe est calé par deux autre éléments renaissance. Pas de pinacle,  pas de coquille, un seul fleuron en croix au haut, sur un fond  de couleur rouge qui descend jusqu’à la Vierge et saint Jean. Le socle reprend le principe des cartouches rectangulaires, mais cette fois-ci avec une colonne centrale les tirant vers le devant. La croix en tau est faite d’un bois jaune. Le titulus s’appuie sur les  deux culs de lampe. Le Christ est présenté les bras en V, la tête tombant sur sa droite. Une couronne d’épines descend jusqu'aux sourcils, la barbe est légère. Un nimbe jaune passe obliquement derrière sa tête. Du sang coule de ses plaies le long des bras. Deux anges orants, l’un aux ailes vertes, l’autre aux ailes bleues, se tiennent à droite et à gauche de son corps. Marie, robe rouge et manteau bleu noué à la taille fait face à saint Jean, robe violette et manteau vert. Il porte le visage jeune et les cheveux blonds propre à son iconographie. Sa main droite est posée sur le cœur.


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Lancette C, Même dais que la lancette A si ce n’est les deux coquilles qui ont prises une teinte d’un bleu passé, et le  rideau une tient verte. Saint Eloi, a revêtu  une chape jaune, couleur des évêques, ornée d’un orfroi jaune. Sa mitre, jaune aussi, s’encadre dans le nimbe. La main droite, gantée de rouge brun et qui bénit, sort de la niche. La droite tient en plus de la crosse tournée vers l’extérieur, un marteau, son attribut. Derrière sa mitre un texte laisse entrevoir le nom du Saint.


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Tympan,  anges portant les instruments de la Passion dans les 4 mouchettes ; dans l’ajour sommital, armoiries des Boutteville, peut être postérieures aux autres parties de la verrière ?

Baie 2 – 1530

 

Baie à 2 lancettes à plein cintre surmontée d’un réseau à trois soufflets et quatre écoinçons, restaurée elle aussi en 1928, haute de 2,00m et large de 1,50.Les personnages sont posés devant un décor d’architecture renaissance posé sur une base socle ou des griffons présentent une cartouche portant une inscription en lettres gothique donnant : L’AN TRANTE FUT CETTE Y COLM. Un sol d’herbes montant plus haut en B se partage avec un ciel bleu le fond des lancettes.  Le décor en verre blanc, si ce n’est les deux socles violets,  identique pour les deux lancettes, est composé de deux piliers à noyau carré flanqué de colonnes surmontés d’un liteau à arc déprimé. Un fronton triangulaire incurvé est posé par dessus tout en laissant une ouverture sur le fond bleu. 

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Lancette A, le personnage que les attributs, couronnes d’épines, tenailles, clous, font découvrir, est Nicodème. Il marche vers la Vierge de B, ses attributs dans les mains, le pied gauche, botté de rouge comme l’autre, traîne sur le haut du socle, tandis que le droit est sorti du cadre et marche dans le vide. Il est coiffé d’un turban aux étoffes de bandes de couleurs, le visage est de trois quart avec nez droit petit yeux, front  en grande partie caché sous le turban, petits yeux vif, moustache tombant en obliques de chaque côté de la bouche, barbe ronde bien taillée. Il est habillé en haut d’une veste ou manteau court jaune, avec pièce frontale blanche, et amples manches et col d’hermine. Dessous une robe verte. Les griffons semblent courir, affolés, les cheveux aux vents, les mains prêtes à saisir. Ils portent une ceinture où est glissé divers objets ; au nombre de 3. Montrent t-ils le texte ? Et le proclament-t-ils ?



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Lancette B, Marie, debout foulard blanc sur la tête et tombant sur la nuque présente l’enfant Jésus, dont le pied gauche repose dans la main gauche de la Vierge, à Nicodème, Elle porte une robe jaune et un  manteau bleu accroché sur l’épaule droite et tombant en larges plis arrondis du côté droit, découvrant le bas gauche de la robe. A l’encontre de Nicodème elle ne dépasse pas le socle ou si peu d’un morceau de son manteau .

avant restauration

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Le réseau offre trois armoiries. A gauche, armoiries d’Yves Le Boutteville, abbé de Langonnet, et à droite armoirie parti de Boutteville et de Kerimerc’h non attribué par précision, toutes deux disposées dans des couronnes de feuillages qui ne correspond pas tout à fait à la taille de l’ajour (déplacées ?). Ajour supérieur : armoiries de la ville de Gourin (modernes) avec réemploi d’un élément d’une couronne de feuillage du XVIème s.

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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 15:19

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Fenêtre 3, vitrail de Hirsch, 1871, Vie du Christ. Baie de 3 lancettes trilobées de 4 panneaux, présentant dans une niche, 12 petites scènes de la vie du Christ et des mystères du Rosaire : Annonciation - Visitation - Nativité - Présentation du temple - Jésus parmi les docteurs - le jardin des Oliviers - la Flagellation - le Couronnement d'épines - il rencontre sa mère - la crucifixion - la Résurrection - l'Ascension.

VITRAUX AVANT RESTAURATION

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décollement de la grisaille
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repiques de pièces au ciment

RETOUCHE A FROID

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application d'un vernis mastic de chez Maimeri, gamme Restauro, réversible au white spirit






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Verrière de doublage ( Hervé DEBITUS TOURS)

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6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 13:09
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Restauration des dalles de verre de Labouret , Baie 0, plein cintre 1956, Crucifixion ; Baie 2, 1956, montage losange et symboles eucharistiques.

LABOURET, Adolphe, Joseph,Auguste, 1871-1964, .Né à Laon dans l’Aisne, en 1871, mort à Crozon, 29, le 13 février 1964.  
Les premières dalles de verre dites à l'époque "mosaïque de verres, à éléments épais, que l'on enchâsse dans un réseau de béton" sont montrées pour la première fois au public dans le Pavillon des Vitraux de l'Exposition Internationale de Paris en 1937 ; le verrier Decorchement y présente sa première réalisation de "vitraux en relief" dont la matière première est de la pâte de verre sculptée.
Ce procédé de vitraux en dalles de verre est perfectionné par le peintre verrier LABOURET, qui dépose en 1938, le brevet n° 1758939 "motif de décoration en verre". Il aurait inventé le vitrail en  dalle de verre éclaté et cloisonné au ciment.
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Réalisation d'un calque, à l'échelle 1, avant le démontage des dalles de verres.

IMG-0030-copie-2.JPG Des dalles de verre s'éffritent. 

Les dalles de verre sont fabriquées par coulage de verre dans un moule. Elles sont ensuite placées dans des arches de recuisson environ 24 heures. Les bulles et irrégularité de la pâte font la richesse de la dalles de verre. Epaisseur moyenne 20 à 25 mm.





Démontage des dalles

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Coupe des dalles de verres à remplacer

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La coupe de la dalle de verre, dans ses débuts, ne pouvait pas se faire sans écaillage. (ici, sur la photo, on éclate la dalle) Labouret a semble t-il profité de ses éclats pour les augmenter et donner au verre une inégalité de surface avec laquelle la lumière vient jouer.

Mise en place des dalles avant le coulage du béton

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Coulage du béton

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Nettoyage des dalles
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8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 14:56
Num--riser0003.jpg cd-2-2006--072.jpg Num--riser0004.jpg
Baies 7 - 7bis - 9

VITRAUX AVANT RESTAURATION

cd-2-2006--074.jpg IMG-0010-copie-2.JPG

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Lavage des panneaux
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En cours de restauration

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             masticage
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 le bihan titre photos

 

       CREATIONS ET RESTAURATIONS 

                  VITRAUX

          REOUVERTURE EN OCTOBRE 2010

               3 rue Michel Marion

                29000 Quimper

                02 98 55 74 78

                  antoinelebihan29@laposte.net

Fondée en 1791 - pour les particuliers et les

édifices religieux - nombreuses références

 

Recherche

HISTORIQUES

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 En 1791, Pierre Saluden travail le vitrail avec son frère à Saint Pol de Léon(29). En 1808, il crée son atelier à Landerneau(29), pour ne pas faire concurence à son frère. Lui succède son fils François SALUDEN puis on petit fils Pierre SALUDEN. 

En 1908, Auguste (fils de Pierre Saluden) et Anna SALUDEN créent un atelier à Brest.  Suite à la destruction de Brest, installation de l'atelier à Quimper, repris par Yves LE BIHAN (gendre d'Anna) : VITRAUX LE BIHAN SALUDEN

En 1963, reprise de l'atelier par Jean Pierre LE BIHAN -1985, embauche Antoine Le Bihan (fils) - 1993, création de la SARL JP LE BIHAN VITRAUX  - 2000, départ en retraite de Jean Pierre - 11 septembre 2009 - fermeture de la SARL

octobre 2010 - réouverture de l'atelier le bihan vitraux par Antoine Le Bihan.

 

A ce jour, l'atelier a réalisé de nombreuses restaurations dont les cathédrales de Quimper (29), de Saint Pol de Léon (29), de Nantes (44), de Vannes (56), de Rennes (35), Laval (53).

L'atelier a réalisé des créations avec des artistes tels que Alain BERRAULT, René QUERE, François DILASSER, Mme COATALEM, Hung RANNOU, Nicolas FEDERENKO, Renaud GAUTIER, Yves PICQUET....

Nombre de ses réalisations se firent dans les monuments classés avec des architectes du service départemental des Monuments Historiques (J.F LAGNEAU, M.S. DE PONTHAUD, CHOUINARD, LEFEVRE, LISCH, B. MOUTON, PERROT, RONSERAY...)

 

 

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