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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 15:44

 

st_they_plouhinec_3_je_650.jpgCourant mars de cette année, la Chapelle Saint They en plouhinec a été victime de vandalisme : 2 statues ont été mises à mal et les 3 verrières brisées.

 

Ces vitraux sont l'oeuvre de Jean-Pierre Le Bihan, réalisé dans cet atelier en septembre 1994.

 

Dans nos archives nous avons trouvé les documents photographiques, qui ont été le départ indispensable pour restituer les éléments disparus.

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Après une dépose des panneaux et occultations des fenêtres, le travail en atelier, c'est déroulé selon les étapes traditionnelles pour la réalisation du vitrail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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C'est toujours avec une émotion particulière que celui-ci est réalisé : réussir a être fidèle à l'esprit et le geste de l'artiste, là mon père.

 

 

 

 

PLOUHINEC ST THEY 009

 

 

 

 

 

 

 

 

En essayant de conserver le maximun de pièces possible ; en recherchant des verres identiques, une grisaille similaire.

 

Il me semble avoir réussi à ne pas trahir son oeuvre.

 

 

 

 

 

 


 

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L'édifice  a retrouvé sa singularité, chapelle toute simple, au sol battue, trois fenêtres ; l'une avec les scènes de pardon de They (côté nord) ; la bénédiction de la mer (côté sud) et la vie de Saint They (côté est). La chapelle est à 2 pas de la mer, un lieu à découvrir.

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 17:39

generation copieDE CALVEZ A

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 10:39

poisson de printemps ok

 

 

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 18:03

Réalisé par l'atelier de nos arrières grands parents en 1912, installé à Brest. Ce vitrail a subit cet été des dégâts vandalismes.

 

Après une dépose du vitrail, la restauration en atelier peut commencer : démontage, report, coupe de pièces, peinture, cuisson, remise en plomb, soudage, contre soudage, masticage, nettoyage .....

 

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 Et pour finir, une remise en place, selon les règles de l'art.

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 17:48

P1060694.JPG

 

 

Après analyse de l'état de conservation des grisailles en face intérieure pour les vitraux du 16ème siècle, et la nature des dépots en face externe ; nous avons opté pour :

  - une première opération de nettoyage à sec et application d'un biocide par pulvérisation.

  - puis application de lingettes inbibées d'éthanol et d'eau déminéralisée.

 

En face intérieure comme en extérieure ces applications nous on permis de redonner une lecture beaucoup plus nette des verrières en ôtant une fine couche de polène, d'algues, de poussières et de lichen.

 

L'ensemble de ses opérations c'est réalisé en vérifiant régulièrement l'état des lavis extérieure ainsi que la solidité des grisailles internes.

 

Avant nettoyage

face exterieure

F2 avant netoyage 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  avant                                                                                                                           après

 

 VITRAUX DU XVIème SIECLE

 

Des centaines de personnages, célèbres ou inconnus, réels ou mythiques, s'animent pour composer ces tableaux peints de vie et de couleurs qui relatent la vie du Christ, celle de la Vierge et la légende Dorée de plusieurs saints. Cet ensemble de 8 vitraux, dont sept entiers, a été fabriqué entre 1546 et 1550 par des ateliers différents. Il est classé aux Monuments Historiques depuis 1902.

 

LE VITRAIL DE SAINT JACQUES (Bras sud)

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Selon la légende, le corps de Saint Jacques, confié aux flots puis déposé sur une charette tirée par des taureaux sauvages, fut guidé par la Providence jusque dans le palais de la reine de Galice, aujourd'hui Saint Jacques de Compostelle. Le thème du saint qui voyage après la mort dans une barque ou dans une auge de pierre est également très prisé des populations celtiques de même que l'utilisation de bovins pour connaître la volonté divine. A Spézet, le tradition veut que l'emplacement de l'ancienne chapelle de Saint Antoine au bourg correspondit à l'endroit où s'arrêtèrent deux boeufs tirant une charette qui contenait la première pierre de l'édifice.

 

La fenêtre porte la date de 1548 en chiffres romains et l'inscription "Charles Quapion fabrique", du nom du fabricien de l'année, en fait Campion, comme le vitrail de Saint Laurent (Bras nord).

(d'après le livre de Claire Arlaux - Notre Dame du Krann de Spézet)

 

 

 

 

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 20:06

  

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 17:56

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 17:43

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19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 14:34

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19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 12:59
OUEST FRANCE DU 5/09/09
L'histoire prend fin pour Le Bihan Vitraux - Quimper
samedi 05 septembre 2009
Antoine Le Bihan avait repris l'atelier créé par son grand-père et développé par son père rue Michel-Marion, au Cap-Horn.</P>

 

Faute de commandes, l'atelier vient d'être liquidé. Il poursuivait une activité lancée sous la Révolution.

 

L'atelier Le Bihan vitraux met la clé sous la porte. Le tribunal de commerce a décidé vendredi la liquidation de cet atelier, actuellement situé au Cap Horn. Ili restaure des vitraux depuis des générations : Yves Le Bihan a installé l'atelier à Quimper après la Seconde guerre mondiale, relayé par son fils Jean-Pierre puis par Antoine. Mais l'origine de l'atelier est bien plus ancienne. Il a démarré dans le Léon sous la Révolution avec la famille Saluden.

Antoine Le Bihan, qui emploie actuellement quatre artisans-verriers, attribue la situation au code des marchés publics : « C'est systématiquement le moins-disant (N.D.L.R. le moins cher) qui est retenu, ce qui veut dire des matériaux de moindre qualité... Les premiers surpris de la liquidation sont la Direction des affaires culturelles et l'Architecte des bâtiments de France. »

L'atelier avait restauré l'an passé la verrière de la Passion, à l'église Saint-Mathieu. Une verrière du XVI e siècle, signée Le Sodec, un artisan-verrier dont l'atelier quimpérois a restauré plusieurs vitraux en Cornouaille.

Le Bihan Vitraux travaillait dans toute la Bretagne. La palette de verres qu'il utilisait va à présent être dispersée dans la liquidation : « C'est une collection qui disparaît alors qu'il n'y a que quelques ateliers en France à disposer d'un pareil ensemble. »

Antoine Le Bihan compte pour sa part continuer son métier d'artisan-verrier au service d'autres entreprises. Mais ce ne sera pas à Quimper.

 

Le Télégramme revient également, sous la plume d'Éliane Faucon-Dumont, sur cette information dans son édition du 9 septembre 2009 :

Le Bihan - Crépuscule sur les vitraux

Vendredi soir, la SARL JP Le Bihan, fermera ses portes. Pour les maîtres-verriers, héritiers d'un savoir-faire séculaire, c'est la fin d'une histoire commencée dans le Léon en 1791.

Antoine Le Bihan, gérant de «la plus ancienne entreprise de création de restauration de vitraux en Bretagne», jette à regret l'éponge. «Pour exercer l'activité de maître-verrier, il faut actuellement disposer d'une grande fortune, avance-t-il. Pour le moment, ce qui compte c'est de sauver nos archives». L'artiste et sa sœur, Claire, rassemblent les documents qui racontent l'histoire de cette entreprise, fondée en 1791 par leur ancêtre Pierre Saluden, à Saint-Pol de Léon. En 1808, le fils de celui-ci ouvre son atelier à Landerneau. Auguste, son petit-fils et AnnaSaluden, son épouse, perpétuent la tradition à Brest dès 1908. En 1947, Yves Le Bihan, gendre d'Anna, s'installe à Quimper. Jean-Pierre, son fils, lui succède en 1963. Antoine, plasticien et également maître-verrier, arrive dans l'entreprise en 1985. Titulaire d'un diplôme supérieur d'expression plastique, il ajoutera son savoir-faire à celui de ses prédécesseurs.


Des restaurations

L'atelier, situé à deux pas du halage, est plein de cartons, de morceaux de vitraux, de photos, de noms, de souvenirs. «Avec nos cinq salariés, nous avons réalisé de nombreuses restaurations, sauvés des vitraux de valeur inestimables, créé de nouveaux modèles. Ma première restauration, raconte Antoine Le Bihan, remonte à 1984. Benjamin Mouton, alors architecte des Bâtiments de France, m'a demandé de refaire le vitrail dit de "La Passion", à l'église de Guengat. J'achève mon travail de maître-verrier à La Martyre, dans le nord Finistère. Mon plus beau souvenir est lié à la restauration des vitraux de la cathédrale de Quimper et en particulier, du vitrail de "La Crucifixion". L'original se trouvait à Castelnau-Bretenoux, dans le Lot. Réalisé au XVe siècle, ce vitrail a été déplacé, revendu à un antiquaire, appartenu à un chanteur connu qui en a fait don à l'État. Je l'ai restauré à l'identique. C'est l'une de mes fiertés». Des fiertés, Antoine Le Bihan en a d'autres. Il faut l'entendre raconter comment, sans rien déplacer, enfermé dans un édifice, il a patiemment redonné sa jeunesse à une pièce unique, comment un visage ancien est sorti de l'ombre grâce à un travail minutieux. L'entreprise fermée, c'est tout un savoir-faire qui disparaît. Pourtant, insiste le maître-verrier, il reste bien des restaurations à faire en Bretagne et ailleurs. Des chefs-d'œuvre vont disparaître, faute de crédits et de volonté politique...

À la télé

L'an prochain, l'émission «Des Racines et des Ailes» reviendra sur l'histoire et les travaux de la famille Saluden-Le Bihan. Les réalisateurs ont passé, au printemps dernier, de longues heures dans l'entreprise. Ce sera le dernier souvenir, la dernière page d'une grande histoire.


Le Bihan vitraux : quand le patrimoine disparaît... - Quimper
lundi 21 septembre 2009

Antoine le Bihan, désabusé devant une partie de sa vitrine réalisée pour les journées du Patrimoine.</P>

 

 

Le patrimoine, c'est aussi un savoir-faire ancestral qui se transmet de père en fils, comme celui de maître verrier par exemple...

Ce savoir-faire, la famille Le Bihan-Saluden l'exerçait depuis 1791. D'abord à Saint-Pol-de-Léon. Après quelques déplacements géographiques, l'atelier s'installe en 1947 dans le quartier de Sainte-Bernadette à Quimper. On ne compte plus, depuis, le nombre de vitraux sauvés du désastre par l'habileté de ces artisans. Antoine a succédé à son père Jean-Pierre en l'an 2000, il l'accompagnait depuis 1985, à sa sortie de l'école des Beaux-Arts.

La rage au coeur

Ce ne sont pas les chantiers qui ont manqué, des prestigieux comme celui de la cathédrale de Quimper, la basilique de Saint-Pol-de-Léon, Nantes, Vannes, Rennes, Laval et... La Martyre. Mais l'atelier a aussi réalisé des vitraux à partir de cartons d'artistes contemporains comme Dilasser, Federenko... Il y a eu jusqu'à neuf compagnons pour oeuvre auprès de Jean-Paul puis d'Antoine.

Sur la grande baie vitrée qui donne sur la rue Michel-Marion, Antoine, la rage au coeur a affiché une centaine d'attestations de travaux, toutes aussi dithyrambiques les unes que les autres et signées par des architectes des Bâtiments de France. L'excellence du travail, le respect des temps impartis, tout y est. Mais au fil des ans, les restaurations se sont faites plus rares, les financements de la Drac en particulier n'ont pas suivi. Les matériaux ont augmenté de façon inouïe, « Jusqu'à 100 % pour le plomb cette année. » Et le plomb, c'est indispensable pour joindre les vitraux. « Et puis, dans les appels d'offres, c'est le moins disant qui l'emporte ».

Trop tard

L'atelier qui, depuis quelques années avaient de plus en plus de mal à boucler son bilan, c'est retrouvé en cessation d'activité le 11 septembre. « La SARL est liquidée, plus d'électricité, plus d'eau, plus de téléphone ». Il y a quelques semaines, l'émission « Des racines et des ailes » effectuait un reportage à l'atelier. On le verra cet hiver sans doute. Mais l'atelier, lui, sera fermé. « Le plus dérisoire, c'est que je viens d'avoir une proposition pour une verrière de la Sainte-Chapelle à Paris ! ». Trop tard. Antoine proposait, pour les Journées du patrimoine, que le public vienne voir ces attestations et quelques photos et documents affichés sur les vitrines de l'atelier. Et qu'il en débatte librement. L'artiste, lui, n'était pas là. Il n'a plus le coeur à en parler. Voir le site lebihan-vitraux.

Autres

Bonjour,

J'apprends avec tristesse les problèmes de votre entreprise. Quimpérois de naissance, j'ai eu Jean-Pierre comme prof d'arts plastiques à Saint-Yves en 1961 ou 62-63.. peut-être avant, et je me souviens  bien de ses cours et des dessins faits à ce moment-là, et qui m'ont donné l'envie de peindre et surtout le goût de la peinture.

J'ai vu à la galerie Saluden, où il y avait (sans doute) votre mère et peut-être votre père parfois, -avant de connaître d'autres galeries et musées-,  à l'étage où régnait le recueillement et l'odeur des couleurs, << mes>> premiers peintres, Gurbert, Carzuzan, Morvan, Quéré, Péron, Le Merdy, Mingam, Kervella, Pierre Gilles peut-être et sûrement d'autres que j'oublie en ce moment. J''y achetais quelques feuilles de Canson et des couleurs. Ensuite j'ai fréquenté la galerie de Brest.   

Tout ça pour dire que je suis peiné vraiment de  ce qui se passe. Je me suis toujours dit que si j'avais un jour un vitrail à faire réaliser, je m'adresserai à vous. Et lors de mes visites de chapelles et d'églises, pas seulement pour voir des Bazaine ou Quére, je tente toujours de voir si le vitrail vient de vos ateliers.

Ce serait bien que votre site internet soit préservé pour qu'on n'oublie pas votre savoir et votre compétence.

J'adresse un salut cordial à mon vieux professeur de dessin de quatrième ou de troisième, dont quelques coups de crayon me reviennent en ce moment en mémoire. Il était alors encore jeune, souriant et très patient avec nous,  -c'était il y a presque 50 ans-,  et à son fils Antoine.

J'espère que votre aventure créatrice et artisanale se perpétuera au moins sous une autre forme. Amicalement.

MK



Bonsoir,

 

Nous pensons bien à vous et vos enfants en ces moments difficiles.

 

La saga des verriers Saluden et Le Bihan-Saluden a certainement vécu d'autres moments pénibles depuis la Révolution de 1789, et elle peut renaître de ses cendres plus tard. Il faut rester optimiste car vous avez de nombreux descendants.

 

On vous embrasse

 

Philippe et Mio





C'est une bien triste nouvelle pour l'atelier et surtout le personnel.
J'espère que tous ces savoirs faire pourront continuer (sous une autre
forme...).

Bien à vous

très cordialement

Dominique C.




Je ne trouve pas les mots forts pour écrire ma douleur, comme je ne trouve pas ces mots suffisamment cinglants pour exprimer ma colère.

Il y a 22 ans, cette entreprise familiale m'a ouvert les portes pour me transmettre leur savoir avec respect et amour pour ce métier "Vitrailliste", pour m'avoir laissé vivre cette aventure de mes propres ailes depuis 15 ans.

Aujourd'hui, ce n'est pas un concurrent qui ferme les portes, mais un ami.

Je dirais même un père, frères, soeurs......

Toutes une famille, toutes les générations issus de ce passé dans l'histoire du Vitrail qui s'éteint.

Justement, le "PATRIMOINE VIVANT" comment peut on en accepter la fin ?

Aujourd'hui, c'est l'entreprise "LE BIHAN". Demain, peut-être moi,
mais combien ici et là dans l'hexagone ?

Ce qui est certainement le cas.

Fermetures causées par un cumule de problèmes, mais je dénonce surtout une hypocrisie.

L'inflation des matières 1ère.

Le jeu du pouvoir et de l'argent des grands groupes. Celui qui mangera l'autre pour être plus fort, être côté en bourse, avoir le monopôle.


Et que fait le pouvoir politique ?

A quand une véritable reconnaissance de nos "Savoir Faire".

A quand un vrai statut social ?

Une protection qui nous préserve certe dans une identité sociale et juridique à part entière "PATRIMOINE VIVANT", mais aussi sur l'inflation des matières 1ère
.

Aujourd'hui, ces points sont nos faiblesses et nous mènent à la perte.

Sans une prise de concience, sans une remise en question de toute la société, ce n'est pas une profession qui s'éteint, c'est un ensemble de Métiers d'Art.

                                                                    "
PATRIMOINE VIVANT"
                                                                       J.H. HARBONNIER


http://ptiquotidien.over-blog.com/article-35723115.html

http://madeo-etienne.blogspot.com/2009/09/maitres-verriers.html

http://jeanpierrelebihan.over-blog.com/article-36146750.html

http://faiencedequimper.blogspot.com/search/label/Antoine%20Le%20Bihan

http://ouenja.blogspirit.com/archive/2009/10/17/maitre-verrier.html
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 le bihan titre photos

 

       CREATIONS ET RESTAURATIONS 

                  VITRAUX

          REOUVERTURE EN OCTOBRE 2010

               3 rue Michel Marion

                29000 Quimper

                02 98 55 74 78

                  antoinelebihan29@laposte.net

Fondée en 1791 - pour les particuliers et les

édifices religieux - nombreuses références

 

Recherche

HISTORIQUES

  16-rue-traverse.gif 

 

 En 1791, Pierre Saluden travail le vitrail avec son frère à Saint Pol de Léon(29). En 1808, il crée son atelier à Landerneau(29), pour ne pas faire concurence à son frère. Lui succède son fils François SALUDEN puis on petit fils Pierre SALUDEN. 

En 1908, Auguste (fils de Pierre Saluden) et Anna SALUDEN créent un atelier à Brest.  Suite à la destruction de Brest, installation de l'atelier à Quimper, repris par Yves LE BIHAN (gendre d'Anna) : VITRAUX LE BIHAN SALUDEN

En 1963, reprise de l'atelier par Jean Pierre LE BIHAN -1985, embauche Antoine Le Bihan (fils) - 1993, création de la SARL JP LE BIHAN VITRAUX  - 2000, départ en retraite de Jean Pierre - 11 septembre 2009 - fermeture de la SARL

octobre 2010 - réouverture de l'atelier le bihan vitraux par Antoine Le Bihan.

 

A ce jour, l'atelier a réalisé de nombreuses restaurations dont les cathédrales de Quimper (29), de Saint Pol de Léon (29), de Nantes (44), de Vannes (56), de Rennes (35), Laval (53).

L'atelier a réalisé des créations avec des artistes tels que Alain BERRAULT, René QUERE, François DILASSER, Mme COATALEM, Hung RANNOU, Nicolas FEDERENKO, Renaud GAUTIER, Yves PICQUET....

Nombre de ses réalisations se firent dans les monuments classés avec des architectes du service départemental des Monuments Historiques (J.F LAGNEAU, M.S. DE PONTHAUD, CHOUINARD, LEFEVRE, LISCH, B. MOUTON, PERROT, RONSERAY...)

 

 

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